ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
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ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
Je n’aime pas faire les choses à moitié : alors pour ma première marche nordique chronométrée, j’ai choisi l’Ultramarin de Vannes (Morbihan) sur 27 km. Pas moins ! Plus sérieusement, la distance ne m’a jamais (trop) fait peur, mais surtout cette belle épreuve était partie en 2016 à 300 mètres de chez moi et empruntait des chemins que je connais bien. Du coup c’était tentant de faire sa première course « à la maison ». Cependant, quelques semaines après mon inscription, je déchantais un peu car le parcours était déplacé sur la commune de Séné de l’autre côté de Vannes. Par la même occasion, les organisateurs annonçaient une distance allongée de 2 km soit un total de 29 km.
Cela n’a pas découragé la dizaine de marcheurs du club inscrits à l’épreuve. Nous nous sommes donc entrainés avec persévérance, allongeant progressivement nos distances de marche pour atteindre 22/24 km sur les dernières. En parallèle j’ai fait quelques marches longues en solitaire (20, 22 et même 28 km) pour tester ma capacité à tenir dans la durée. Une fois rassuré, il restait quand même à traiter quelques points logistiques et à définir un rythme de marche.
Pour la logistique j’ai ressorti un sac « poche à eau » que j’avais acheté pour faire du vélo mais qui n’avait jamais servi. J’ai également acheté une paire de chaussure de marche rapide que j’ai commencé à user car je trouvais mes chaussures « rando » un peu lourdes. J’ai aussi acheté quelques pattes de fruit, préférant cela aux fruits secs ou aux barres de céréales chocolatées. Je me suis également équipé de chaussettes de contention.
Pour le rythme, je me suis dit que faire le parcours en 4h30 serait un bon objectif correspondant à une vitesse d’environ 6,5 km/h.
Mi-juin il a fait très chaud et j’étais un peu inquiet des conditions que nous allions rencontrer. Mais le jour J (1er juillet), le temps était redevenu plus clément et au moment du départ le ciel était même bien couvert. Cela ne pouvait que me réjouir. Le départ se faisant par sas, j’avais prévu de partir dans le 4eme sas (il y en avait 5 ou 6), mais au moment du départ mes camarades de club m’ont entrainé dans le sas n° 3. L’ambiance était joyeuse, surexcitée. L’organisation nous a proposé le traditionnel échauffement collectif mais vu le nombre de participants c’était un peu le bazar. En effet nous n’étions pas moins de 960 marcheurs au moment du départ ! Pour l’échauffement j’ai donc fait à l’économie (principalement mes chevilles) en me disant que je partirais doucement pour me chauffer sur le premier kilomètre.
Le départ a été donné à 13h. Les premiers sont partis très vite, puis ce fut au tour des marcheurs du 3eme sas d’être libérés. Je n’avais aucune raison de me presser, car de toute manière nous étions équipés de puces électronique qui se déclenchaient au passage de la ligne de départ.
Je suis donc parti assez doucement avec les quelques camarades de club de mon niveau (il y en avait des plus forts partis dans les sas 1 et 2). Le premier kilomètre est parcouru à 6,1 km/h : échauffement, échange sur les premières impressions, coucous aux spectateurs venus nous encourager,… La longue file des marcheurs commence à s’allonger sur le début du parcours.
Le rythme augmente doucement lors des kilomètres suivants : 6,4 / 6,7 / 6,8 / 6,8 km/h. Le parcours est assez facile, le chemin pas trop étroit et finalement je me sens bien et dans le bon rythme que je m’étais fixé. Je fais le 6eme kilomètre à 6,6 km/h mais me rattrape au suivant en le faisant à 7 km/h.
Au 8eme kilomètre je suis contraint de m’arrêter : cela fait plus d’une heure que je marche et depuis plusieurs minutes j’ai une irrésistible envie de faire pipi. Je perds environ 30 secondes et ma moyenne sur ce kilomètre tombe à 6 km/h. mais ça fait du bien !
Cet arrêt impromptu m’a fait perdre plusieurs dizaines de mètres sur mes camarades de route et je vais passer les 3 kilomètres suivants à tenter de combler mon retard en les parcourant à 6,7 / 6,1 (un passage peu plus technique avec des escaliers et un mini embouteillage) / 6,8 km/h.
Je rejoins avec plaisir mes compagnons de route en pleine forme. Alors qu’on se fait dépasser par un concurrent qui marche plus vite que nous, je décide de lui emboiter le pas. Du coup la cadence augmente franchement puisque je passe à 7,4 km/h sur les deux kilomètres suivants. J’ai lâché mes camarades qui n’ont pas suivi et je me retrouve à doubler d’autres participants.
Ensuite, je parcours le kilomètre 14 à 7 km/h (petit coup de pompe ou volonté délibérée de lever le pied, je ne sais plus). Le kilomètre suivant est celui du ravitaillement. Je m’arrête environ 2’40’’ le temps de boire de l’eau (1/2 litre environ), de croquer quelques morceaux de chocolat et surtout … d’enlever le sable et les petits cailloux qui se sont glissés dans ma chaussure. Quelques kilomètres avant nous sommes passés sur une plage de sable, j’ai essayé de faire attention, mais le sable ça rentre partout.
Je repars finalement assez vite alors que d’autres s’attardent un peu et que mes camarades arrivent à leur tour au ravitaillement. C’est là que je reçois une information importante : un jeune gamin s’amuse manifestement à compter les marcheurs et d’après lui, je serai 495eme ! Cette information me met du baume au cœur, d’autant que les personnes qui repartent en même temps que moi vont moins vite. Je poursuis mon parcours à un rythme soutenu (enfin pour moi, car je ne sais pas trop ce qui se passe en tête de course, mais je sais que cela va beaucoup plus vite que cela) : 7,2 / 7,3 / 7,2 / 7,1 / 7,0 km/h. Je rattrape des petits groupes de marcheurs, les dépasse un par un. Je dois gagner une bonne centaine de place sur cette partie du parcours. Déjà le 20ème kilomètre, je tiens le bon bout. Cela fait quand même 3 heures que je marche et le ciel s’est dégagé : même si l’après-midi est déjà entamée, le soleil tape finalement pas mal sur nos têtes.
Les 5 kilomètres suivants vont être un peu plus difficiles : 6,8 / 6,9 / 6,7 / 6,8 / 6,7 km/h. Je suis repassé en dessous de la barre des 7 km/h. Ma place s’est stabilisée. Personne ne revient sur moi mais je ne double plus personne … ou presque. En fait je ne double plus que les personnes arrêtées sur le bord du chemin. Quelques-unes se réhydratent, d’autres ont des débuts de crampes. Le passage dans le bois a permis de trouver un peu de fraicheur mais il précède une assez longue portion en plein soleil le long du bras de mer qui mène au port de Vannes, notre point d’arrivée. J’ai déjà fait ce bout de parcours avec le club. La dernière fois c’était en hiver et il faisait froid. Aujourd’hui c’est une autre histoire.
20+5 = 25 km. Allez, il faut tenir jusqu’au bout, restez bien concentré sur son mouvement pour rester efficace, avancer, toujours avancer. Depuis le ravitaillement mon rythme cardiaque est élevé mais je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite. Je tourne autour de 160 pulsations/minutes. J’essaie de réguler un peu en jouant l’économie, mais mon poul reste à un niveau élevé alors que j’avance à 6,7 puis 6,6 km/h. Un groupe de coureurs me dépasse, je ne les reverrais plus. J’essaie de suivre le rythme de 2 femmes devant moi. Elles me lâchent. Allez, rester fort, ne pas se décourager ! Il y a tant de monde derrière moi.
Plus que 2 kilomètres à parcourir sur la longue esplanade qui longe le canal qui mène au port de Vannes. Le parcours est ouvert et il y a un peu de monde : des spectateurs mais aussi des enfants qui courent et auxquels il faut faire attention. Je me suis mis dans la foulée d’une femme un peu à la peine comme moi. Je suis à 6,4 km/h. Au loin j’ai aperçu un marcheur du club parti dans le sas 2. Je me dis que je peux revenir dessus car il a l’air de souffrir également. Sauf que devant moi, la femme vient de bloquer son bâton dans une plaque d’égout et que pour éviter de lui rentrer dedans, j’ai bloqué ma jambe et que cela m’a déclenché … une crampe ! Arghh, ça fait mal et ce n’est pas le moment à 1 km de l’arrivée. Je tente de m’étirer un peu, attrape la bouteille d’eau de secours que j’avais mise dans mon sac en plus de ma poche à eau et la vide complètement. Ca me donne le petit coup de fouet qui me permet de terminer le parcours.
A l’arrivée, je suis vidé. Mes jambes sont dures et le coup de la crampe m’a un peu secoué. Mon copain du sas 2 est arrivé peu avant moi mais comme je suis parti après lui, je finirai au global quelques places devant lui. Mes camarades de club du départ arrivent 10 minutes après moi. Eux aussi ont souffert de la chaleur en fin de parcours.
La première du club est arrivée depuis 35 minutes avec une moyenne de 7,9 km/h .
Je serai crédité d’un temps de 4h17’55’’ pour une distance de 29,3 km soit 6,8 km/h de moyenne (ma montre Tomtom me donne une distance de 28,7 km soit 6,7 km/h). Je termine 363ème au général (sur 944 marcheurs classés) et 93ème en catégorie V2H (pour les connaisseurs) qui était la catégorie la plus représentée chez les hommes.
Pour une première course, je suis comblé. Je serai très probablement au départ de l’édition 2018. L’organisation était super, le parcours juste merveilleux, l’ambiance formidable, mes partenaires de club au top, l’ensemble des participants très cools, l’expérience pleine d’enseignements (surtout bien s'hydrater tout au long du parcours) pour revenir encore plus motivé l’année prochaine .
Cela n’a pas découragé la dizaine de marcheurs du club inscrits à l’épreuve. Nous nous sommes donc entrainés avec persévérance, allongeant progressivement nos distances de marche pour atteindre 22/24 km sur les dernières. En parallèle j’ai fait quelques marches longues en solitaire (20, 22 et même 28 km) pour tester ma capacité à tenir dans la durée. Une fois rassuré, il restait quand même à traiter quelques points logistiques et à définir un rythme de marche.
Pour la logistique j’ai ressorti un sac « poche à eau » que j’avais acheté pour faire du vélo mais qui n’avait jamais servi. J’ai également acheté une paire de chaussure de marche rapide que j’ai commencé à user car je trouvais mes chaussures « rando » un peu lourdes. J’ai aussi acheté quelques pattes de fruit, préférant cela aux fruits secs ou aux barres de céréales chocolatées. Je me suis également équipé de chaussettes de contention.
Pour le rythme, je me suis dit que faire le parcours en 4h30 serait un bon objectif correspondant à une vitesse d’environ 6,5 km/h.
Mi-juin il a fait très chaud et j’étais un peu inquiet des conditions que nous allions rencontrer. Mais le jour J (1er juillet), le temps était redevenu plus clément et au moment du départ le ciel était même bien couvert. Cela ne pouvait que me réjouir. Le départ se faisant par sas, j’avais prévu de partir dans le 4eme sas (il y en avait 5 ou 6), mais au moment du départ mes camarades de club m’ont entrainé dans le sas n° 3. L’ambiance était joyeuse, surexcitée. L’organisation nous a proposé le traditionnel échauffement collectif mais vu le nombre de participants c’était un peu le bazar. En effet nous n’étions pas moins de 960 marcheurs au moment du départ ! Pour l’échauffement j’ai donc fait à l’économie (principalement mes chevilles) en me disant que je partirais doucement pour me chauffer sur le premier kilomètre.
Le départ a été donné à 13h. Les premiers sont partis très vite, puis ce fut au tour des marcheurs du 3eme sas d’être libérés. Je n’avais aucune raison de me presser, car de toute manière nous étions équipés de puces électronique qui se déclenchaient au passage de la ligne de départ.
Je suis donc parti assez doucement avec les quelques camarades de club de mon niveau (il y en avait des plus forts partis dans les sas 1 et 2). Le premier kilomètre est parcouru à 6,1 km/h : échauffement, échange sur les premières impressions, coucous aux spectateurs venus nous encourager,… La longue file des marcheurs commence à s’allonger sur le début du parcours.
Le rythme augmente doucement lors des kilomètres suivants : 6,4 / 6,7 / 6,8 / 6,8 km/h. Le parcours est assez facile, le chemin pas trop étroit et finalement je me sens bien et dans le bon rythme que je m’étais fixé. Je fais le 6eme kilomètre à 6,6 km/h mais me rattrape au suivant en le faisant à 7 km/h.
Au 8eme kilomètre je suis contraint de m’arrêter : cela fait plus d’une heure que je marche et depuis plusieurs minutes j’ai une irrésistible envie de faire pipi. Je perds environ 30 secondes et ma moyenne sur ce kilomètre tombe à 6 km/h. mais ça fait du bien !
Cet arrêt impromptu m’a fait perdre plusieurs dizaines de mètres sur mes camarades de route et je vais passer les 3 kilomètres suivants à tenter de combler mon retard en les parcourant à 6,7 / 6,1 (un passage peu plus technique avec des escaliers et un mini embouteillage) / 6,8 km/h.
Je rejoins avec plaisir mes compagnons de route en pleine forme. Alors qu’on se fait dépasser par un concurrent qui marche plus vite que nous, je décide de lui emboiter le pas. Du coup la cadence augmente franchement puisque je passe à 7,4 km/h sur les deux kilomètres suivants. J’ai lâché mes camarades qui n’ont pas suivi et je me retrouve à doubler d’autres participants.
Ensuite, je parcours le kilomètre 14 à 7 km/h (petit coup de pompe ou volonté délibérée de lever le pied, je ne sais plus). Le kilomètre suivant est celui du ravitaillement. Je m’arrête environ 2’40’’ le temps de boire de l’eau (1/2 litre environ), de croquer quelques morceaux de chocolat et surtout … d’enlever le sable et les petits cailloux qui se sont glissés dans ma chaussure. Quelques kilomètres avant nous sommes passés sur une plage de sable, j’ai essayé de faire attention, mais le sable ça rentre partout.
Je repars finalement assez vite alors que d’autres s’attardent un peu et que mes camarades arrivent à leur tour au ravitaillement. C’est là que je reçois une information importante : un jeune gamin s’amuse manifestement à compter les marcheurs et d’après lui, je serai 495eme ! Cette information me met du baume au cœur, d’autant que les personnes qui repartent en même temps que moi vont moins vite. Je poursuis mon parcours à un rythme soutenu (enfin pour moi, car je ne sais pas trop ce qui se passe en tête de course, mais je sais que cela va beaucoup plus vite que cela) : 7,2 / 7,3 / 7,2 / 7,1 / 7,0 km/h. Je rattrape des petits groupes de marcheurs, les dépasse un par un. Je dois gagner une bonne centaine de place sur cette partie du parcours. Déjà le 20ème kilomètre, je tiens le bon bout. Cela fait quand même 3 heures que je marche et le ciel s’est dégagé : même si l’après-midi est déjà entamée, le soleil tape finalement pas mal sur nos têtes.
Les 5 kilomètres suivants vont être un peu plus difficiles : 6,8 / 6,9 / 6,7 / 6,8 / 6,7 km/h. Je suis repassé en dessous de la barre des 7 km/h. Ma place s’est stabilisée. Personne ne revient sur moi mais je ne double plus personne … ou presque. En fait je ne double plus que les personnes arrêtées sur le bord du chemin. Quelques-unes se réhydratent, d’autres ont des débuts de crampes. Le passage dans le bois a permis de trouver un peu de fraicheur mais il précède une assez longue portion en plein soleil le long du bras de mer qui mène au port de Vannes, notre point d’arrivée. J’ai déjà fait ce bout de parcours avec le club. La dernière fois c’était en hiver et il faisait froid. Aujourd’hui c’est une autre histoire.
20+5 = 25 km. Allez, il faut tenir jusqu’au bout, restez bien concentré sur son mouvement pour rester efficace, avancer, toujours avancer. Depuis le ravitaillement mon rythme cardiaque est élevé mais je ne m’en suis pas rendu compte tout de suite. Je tourne autour de 160 pulsations/minutes. J’essaie de réguler un peu en jouant l’économie, mais mon poul reste à un niveau élevé alors que j’avance à 6,7 puis 6,6 km/h. Un groupe de coureurs me dépasse, je ne les reverrais plus. J’essaie de suivre le rythme de 2 femmes devant moi. Elles me lâchent. Allez, rester fort, ne pas se décourager ! Il y a tant de monde derrière moi.
Plus que 2 kilomètres à parcourir sur la longue esplanade qui longe le canal qui mène au port de Vannes. Le parcours est ouvert et il y a un peu de monde : des spectateurs mais aussi des enfants qui courent et auxquels il faut faire attention. Je me suis mis dans la foulée d’une femme un peu à la peine comme moi. Je suis à 6,4 km/h. Au loin j’ai aperçu un marcheur du club parti dans le sas 2. Je me dis que je peux revenir dessus car il a l’air de souffrir également. Sauf que devant moi, la femme vient de bloquer son bâton dans une plaque d’égout et que pour éviter de lui rentrer dedans, j’ai bloqué ma jambe et que cela m’a déclenché … une crampe ! Arghh, ça fait mal et ce n’est pas le moment à 1 km de l’arrivée. Je tente de m’étirer un peu, attrape la bouteille d’eau de secours que j’avais mise dans mon sac en plus de ma poche à eau et la vide complètement. Ca me donne le petit coup de fouet qui me permet de terminer le parcours.
A l’arrivée, je suis vidé. Mes jambes sont dures et le coup de la crampe m’a un peu secoué. Mon copain du sas 2 est arrivé peu avant moi mais comme je suis parti après lui, je finirai au global quelques places devant lui. Mes camarades de club du départ arrivent 10 minutes après moi. Eux aussi ont souffert de la chaleur en fin de parcours.
La première du club est arrivée depuis 35 minutes avec une moyenne de 7,9 km/h .
Je serai crédité d’un temps de 4h17’55’’ pour une distance de 29,3 km soit 6,8 km/h de moyenne (ma montre Tomtom me donne une distance de 28,7 km soit 6,7 km/h). Je termine 363ème au général (sur 944 marcheurs classés) et 93ème en catégorie V2H (pour les connaisseurs) qui était la catégorie la plus représentée chez les hommes.
Pour une première course, je suis comblé. Je serai très probablement au départ de l’édition 2018. L’organisation était super, le parcours juste merveilleux, l’ambiance formidable, mes partenaires de club au top, l’ensemble des participants très cools, l’expérience pleine d’enseignements (surtout bien s'hydrater tout au long du parcours) pour revenir encore plus motivé l’année prochaine .
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Daniel_56
Daniel_56- Membre 5 ansMembre 5 ans
- Localisation : Golfe du Morbihan
Re: ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
Merci beaucoup pour nous avoir fait vivre votre course, on a l'impression d'y avoir participé.
Je connais ce probléme de crampe, qui souvent n'intervient pas à l'entrainement même sur une longue distance et sans boire enormement, et qui survient " bizzarement" en course .
Je connais ce probléme de crampe, qui souvent n'intervient pas à l'entrainement même sur une longue distance et sans boire enormement, et qui survient " bizzarement" en course .
Gege- Membre 5 ansMembre 5 ans
Re: ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
Je ne suis pas un habitué des longues distances mais lors de mes autres sorties "longues" (20 km ou plus) j'ai souvent fini avec les jambes un peu dures, mais jamais de crampes (même après la session, mais je fais toujours des étirements).
Là c'est vraiment le fait d'avoir fait un écart qui a déclenché la crampe. Heureusement ça c'est calmé et j'ai pu parcourir mon dernier kilomètre correctement.
Là c'est vraiment le fait d'avoir fait un écart qui a déclenché la crampe. Heureusement ça c'est calmé et j'ai pu parcourir mon dernier kilomètre correctement.
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Daniel_56
Daniel_56- Membre 5 ansMembre 5 ans
- Localisation : Golfe du Morbihan
Re: ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
Merci pour cette belle expérience
Pour les crampes, ca m est arrivé une fois et ce jour là il faisait très chaud ! Il doit y avoir un rapport
Pour les crampes, ca m est arrivé une fois et ce jour là il faisait très chaud ! Il doit y avoir un rapport
Worm1- Membre 5 ansMembre 5 ans
Re: ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
Grand et beau récit. Il y a tout -ou presque: des podiums? des récompenses, après l'épreuve? mais 944 partants en MN, on verra ça dans 20 ans en Occitanie! Bien des détails intéressants. Peut-être une trop tenace obsession de la moyenne. Preuve que Daniel est hyper connecté pour pouvoir donner tous ces chiffres. Moi, à côté, je suis au Moyen-Age! La distance aussi. Inconnue par chez nous. On me demandait récemment quelles étaient les plus longues distances abordées en MN. A part le 15km du championnat du Gard, je n'ai pas trop su quoi répondre. Maintenant, j'ai une référence! Mais c'est en Bretagne et je continue justement à penser que votre région est tout autrement ouverte à la MN et à de telles épreuves, encore inconnues par chez nous en Languedoc.
P.Aime- Membre 5 ansMembre 5 ans
- Localisation : Frontignan (34110)
Re: ULTRAMARIN 2017 - MN 29 km - Ma première marche chronométrée
@P.Aime : Patience, ce sport va se développer même dans le sud.
Il y a eu des podiums et les marcheurs nordiques ont été récompensés comme les trailers (l'ultramarin est d'abord une course de trail avec des distances de 36 à 177 km). Je n'ai pas assisté aux podiums car ils avaient lieu en fin de manifestation qui se tient sur 3 jours.
L'hyper connexion vient de mon coté rationnel (scientifique). J'ai juste acheté une monter GPS et je trouve très intéressant de pouvoir analyser ensuite mes résultats (je n'ai pas osé écrire performance vu mon niveau).
Il y a eu des podiums et les marcheurs nordiques ont été récompensés comme les trailers (l'ultramarin est d'abord une course de trail avec des distances de 36 à 177 km). Je n'ai pas assisté aux podiums car ils avaient lieu en fin de manifestation qui se tient sur 3 jours.
L'hyper connexion vient de mon coté rationnel (scientifique). J'ai juste acheté une monter GPS et je trouve très intéressant de pouvoir analyser ensuite mes résultats (je n'ai pas osé écrire performance vu mon niveau).
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Daniel_56
Daniel_56- Membre 5 ansMembre 5 ans
- Localisation : Golfe du Morbihan
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