Etude sur la pratique sportive non fédérale en Auvergne-Rhône-Alpes

Bonjour,
Dans le cadre du Schéma régional de développement du sport, la DRDJSCS (Direction régionale et départementale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Auvergne-Rhône-Alpes) a lancé  une étude visant à évaluer le poids de la pratique non fédérale et à mieux caractériser les pratiques et leurs motivations. (Etude de Juin 2019)
Bien que la Marche Nordique ne soit pas expressément nommée (hormis au tout début), vous trouverez  un rapport très complet sur les pratiques sportives urbaines et extérieure et surtout à la fin du rapport des réflexions sur les enjeux et pistes d'actions


Vous trouverez ci-dessous le rapport de cette étude  http://auvergne-rhone-alpes.drdjscs.gouv.fr/sites/auvergne-rhone-alpes.drdjscs.gouv.fr/IMG/pdf/etude_sur_la_pratique_sportive_non_federale_-_drjscs_ara_-_rapport.pdf




Bonne lecture

Angel

Merci pour ce document. C'est remarquablement bien fait et, même si l'enquête n'a porté que sur la région ARA, très riche en enseignements.

En tout cas, c'est une bonne base de réflexion et de discussion pour nous.

PhiPhilo.

Merci @angel pour ce document et je confirme sa pertinence
On peut se féliciter du nombre croissant de pratiquants d'activité sportive, mais cela se fait en dehors des structures traditionnelles fédérales. Voila pour le constat en gros
La question qui est de plus en plus récurrente est comment ramener ces "solitaires" dans ces fédérations et où les collectivités doivent investir pour satisfaire ces pratiquants.
On constate aussi que la notion de bien-être prime maintenant sur la notion de compétition, et que les pratiques pluridisciplinaires (Marche, Vtt, etc pour les activités de nature) sont en croissance.

Le fédérations sportives, telles qu'elles sont aujourd'hui avec leur "lourdeur" et leur mono activité sont elles adaptées et surtout attractives pour ces pratiquants ? 
Voila une première question du débat à mener d'autant plus intéressante à mon avis et surtout pour la Marche Nordique, activité neuve et qui pourrait servir de laboratoire pour un autre type de structure.

Gérard

Bonjour 
Merci pour le partage, d'autant plus que c'est ma région 
Le paradoxe d'aujourd'hui est de trouver comment  concilier les besoins de bien-être, de nature et de liberté  dans la pratique sportive avec le besoin d'avoir toutes les conditions réunies pour réaliser sa pratique.
Qui doit financer ces infrastructures ? L'état, les collectivités territoriales et locales ou les "partenaires privés".
Ces derniers devrait être à mon avis les plus sollicités, car on se rend compte que les grosses structures (fédérations) comme le dit @gege n'ont pas les moyens de se transformer rapidement  pour répondre à ces nouvelles attentes et aujourd'hui  les deniers publics ont tendance à aller dans le sens de la diminution. 
L'émergence de nouveaux modèles "associatifs" devrait et vont à mon avis voir le jour,  pour prendre en compte ces nouvelles approches de la pratique sportive.
Foncine