On nous empêche d'aller vite

Compliquée la marche nordique compétition en France, la vitesse a vraiment pris le dessus sur la technique, même sur la plus fondamentale.

Pour expliquer cela voici deux exemples :
1) la remarque d'un compétiteur au sujet du planté du bâton entre les deux pieds sur un groupe FB : "je ne vois pas l'intérêt, tant que l'on n'a pas prouvé que cela permettait d'aller plus vite "

2) une autre remarque d'un compétiteur dans un article d'un blog : " Je suggère de ne pas valider ce « planté de bâton entre les jambes », beaucoup trop complexe à évaluer et d’abaisser le « Stop & Go » de 30 à 20 secondes."

Allez, il doit bien y avoir encore d'autres choses qui empêchent d'aller vite ?


Bonne chance aux juges 

Patrice

Il serait idiot de perdre l'ADN de la marche nordique même la "compétitive".
Cela n'irait pas à moyen terme dans le sens des compétitions (cf la marche athlétique), ni de la FFA .
En même temps, si cela continue en terme de vitesse, soit ils mettent leurs bâtons dans un sac à dos et l'on dit qu'ils font de la "Marche Nordique Compétition" si cela leur fait plaisir, soit on met en branle des caméras, des drones, des juges, une VAR, des contrôles des films de la course à postériori, que sais-je encore, pour qu'ils satisfassent leur "ego" de compétiteurs.

Sinon comme il a été dit plusieurs fois dans ce forum, on reprend tout à zéro et on s'inspire du règlement espagnol par exemple, cela fera le plus grand bien à la New Marche Nordique Compétition.

Gérard

C´est peut-être de l'Intelligence Artificielle
Denis

Vous avez peut-être lu et entendu parler de cette lettre envoyée eg signée par une poignée de compétiteurs de Marche avec Bâtons, la voici :

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Je ne comprends pas pourquoi ils ne veulent pas faire de la Marche Nordique. 
Pierre

Ils ont quand même des égos démesurés.
Quelques compétiteurs pour des milliers de marcheurs nordiques veulent décider comment pratiquer ou plutôt comment mal pratiquer .
Est la pose simultanée bâton/ pied on en parle quand ?
Gérard

La commission marche nordique à voulu faire de la démagogie en consultant des compétiteurs et competitrices à propos de modifications du règlement. 
Voilà où on en est. 
Denis

Messieurs et mesdames , les soi disant meilleurs techniciens marcheurs "nordique " Français qui critiquent tant les autres , cette pratique n'est pas née en France en vous le rappelant  peut être mais bien en Finlande vers 1920 dans le monde de ski de fond , biathlon et dont  le but est de pouvoir continuer à s'entrainer en période d'été sans la neige , en utilisant des bâtons pour continuer a renforcer son haut du corps et maintenir une certaine gestuelle en travaillant son endurance et tous le travail physique lié a cette pratique, et pas forcément avec un règlement très strict, ensuite elle a été récupérer par d'autres fédérations d'autres pays des années plus tard qui ont établi des règlementations avec des petites différences entre elles par exemple pour certains pays une moindre amplitude et un planté du bâton différent , la France ne l'a repris qu'en 2009 bien longtemps après . Une fédération internationale constituant un regroupement de certains pays surtout de l'Est avec l'Italie , l'Espagne , Le Maroc en organisant une coupe du monde . Reste à ces pays y compris la France d'établir une règlementation commune et que les pays du nord puissent l'incorporer avec d'autres nations mondiale . 
On n'est pas dans la division mais dans l'unification!
Pour les technicien en herbe , sachez que l'on peut travailler son amplitude mais aussi sa cadence en s'entrainant régulièrement sur différents paramètres "filières aérobie et anaérobie, renforcement musculaires, travail de la gestuelle et posture"
N'opposons pas les marcheurs nordiques loisirs et compétiteurs , mais surtout respectons l'origine de cette pratique.

Il serait effectivement dommage de perdre de vue l´origine de cette activité, et ainsi d´en oublier les bases techniques, les fondements et les raisons même de ces entraînements.  La reproduction du geste du ski de fond alternatif sur des terrains non enneigés et sur des montées permettait de continuer à travailler les bases techniques et physiques en particulier le haut du corps. 

Sandrine